« Voilà l’Raccommodeur de d’faïence et d’por…celaine ! »
De vieux pots ébréchés sa voiturette est plein ;
Il les recolle, assis sur le bord du chemin ;
Puis, voyant qu’à la fin personne ne l’écoute
Et que dans le village il s’égosille en vain,
Eternel vagabond du vice et de la faim,
Il repart en trainant ses pieds las sur la route.